[MA-348]
Offenser et être offensé
Il est plus agréable d’offenser et demander pardon ensuite que d’être offensé et accorder le pardon. Celui qui fait le premier donne une marque de puissance, et après, de bonté de caractère. L’autre, s’il ne veut pas passer pour inhumain, est obligé déjà de pardonner; la jouissance que procure l’humiliation d’autrui est très réduite par cette obligation.